Auteur :
Rachid B.
lundi 08 août 2016 20:35
Lors du point de presse qu’il a animé, l’ancien baroudeur de l’EN n’a pas tari d’éloges sur son jeune joueur Cherif El Ouazzani et assure qu’il n’y a aucune raison qui le pousserait à ne pas compter sur lui à l’avenir. De son côté, l’enfant d’El Bahia estime que de telles déclarations constituent une source de motivation pour lui. «Les déclarations de Menad m’honorent et me motivent davantage pour que je fournisse les efforts nécessaires et me prépare pour le championnat. Si le coach me fait confiance pour jouer en championnat, je serai prêt à prendre ma place sur le terrain et je tiens à vous dire que tous mes coéquipiers m’ont facilité la tâche depuis que je suis en équipe fanion.»
«J’apprends de Kacem, Karaoui et Seddiki»
Cependant, il n’est un secret pour personne qu’il y a une rude concurrence au milieu du terrain et il n’est pas facile pour n’importe quel élément de s’imposer dans ce compartiment en présence de talentueux joueurs. «C’est une bonne chose pour moi d’être en concurrence avec Kacem, Karaoui et Seddiki qui sont de bons joueurs car j’apprends à leurs côtés. Ma mission sera rude mais je vais redoubler d’efforts pour essayer de gagner ma place. Le plus important pour nous est l’intérêt de l’équipe et nous avons un riche effectif qui pourra jouer sur les trois fronts. Le climat qui règne dans le groupe va sans aucun doute nous permettre de réaliser les résultats souhaités.»
«Mon père me prodigue les conseils nécessaires depuis mon enfance»
Comme on le sait, le milieu de terrain du MCA n’est autre que le fils de l’ancien international Si Tahar Cherif El Ouazzani. «Mon père ne cesse de me prodiguer les conseils nécessaires et cela depuis que j’ai commencé ma carrière. Cela m’a aidé dans ma progression. De mon côté, j’essaye toujours d’être à la hauteur afin que je réussisse ma carrière et pour lui faire aussi plaisir, car il veut me voir réussir comme il l’a fait», conclut le jeune joueur du MCA qui commence à faire parler de lui et ne tardera sans aucun doute pas à bousculer la hiérarchie, lorsqu’on sait que la saison passée il avait forcé l’admiration à chaque fois que l’occasion se présentait à lui.