Auteur :
Said D.
mardi 05 janvier 2016 22:36
Une semaine après la reprise de l’entraînement, le milieu de terrain Elyes Seddiki n’a pas donné signe de vie. Le joueur, qui ne souhaite plus remettre les pieds à Tizi Ouzou, a chargé son manager de trouver un terrain d’entente avec le président Hannachi, lequel aurait exigé deux milliards pour libérer l’ancien joueur du RCA. Et comme les négociations n’ont pas avancé, le joueur et son manager ont décidé de rentrer en Algérie pour essayer d’approcher les décideurs kabyles et essayer de trouver une solution une fois pour toutes. Alors que Seddiki devait rallier Tizi Ouzou lundi matin, le rendez-vous a été annulé, du moment que Hannachi se trouvait déjà à Alger pour négocier avec l’arrière gauche du RCA, Houari Ferhani. Du coup, le manager du joueur a essayé de contacter le boss kabyle pour trouver un arrangement qui puisse satisfaire tout le monde. Mais ce dernier, très occupé, ne pouvait pas lui décrocher. Le moins que l’on puisse dire est que les négociations sont très serrées. A en croire une source bien informée, les responsables kabyles auraient pris la décision de libérer Seddiki. Mais ce dernier ne récupérera pas sa libération gratuitement. Il doit casser sa tirelire pour pouvoir changer d’air et opter pour une nouvelle formation.
Hannchi exige toujours 2 milliards
A en croire nos informations, la direction de la JSK compte mener la vie dure à Seddiki. Le président Hannachi, que nous avons joint lundi soir, nous a révélé que le Franco-Algérien n’a pas le droit de faire du chantage pour partir. Toutefois, il faut dire que la lettre de sortie a été fixée à deux milliards. L’équipe qui souhaiterait enrôler le milieu de terrain doit verser une partie à la direction kabyle. Affaire à suivre.
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