CSC : Le CSC sans âme et sans identité

Tous ceux qui ont suivi le match d’avant-hier soir au stade Hamlaoui entre le CSC et le CAB et qui s’est achevé, pour rappel, sur le score de zéro à zéro entre les deux équipes, ont reconnu que la bande à Didier Gomes était dans un jour sans. L’équipe est complètement passée à coté du cadre en décevant les quelques présents dans les tribunes. L’équipe chère aux Sanafir a joué sans âme et sans identité, et avec aucun fond de jeu. Les camarades de Bezzaz étaient l’ombre d’eux-mêmes comme ça été le cas surtout face à la JS Saoura lors de la précédente journée. La piètre prestation réalisée face au CAB avant-hier en est la parfaite illustration qu’un grand travail attend le coach Gomes et les joueurs.

Certains éléments hors champ
Certains parmi ceux qui ont pris part à cette joute amicale sont passés à côté de la plaque en présentant un rendement faible, qui a fait révolter les supporters présents dans les gradins. Pourtant ces derniers sont des titulaires, mais la réalité du terrain est là pour confirmer leur faible niveau. Ainsi, ces joueurs-ci doivent refaire surface et rectifier le tir avant que ce ne soit trop tard.

Pas de fond de jeu pour le CSC
Les Sanafir qui ont suivi le match face au CAB ont constaté de visu, qu’il n’y avait aucun fond de jeu et le coach Gomes était hors coup comme ses joueurs. Les coéquipiers de Zalani jouaient anarchiquement, ce qui n’a fait que sortir les supporters de leur amour-propre en déversant leur colère sur tout le monde, notamment sur le coach Gomes qui est à leurs yeux responsable de ce rendement médiocre.

Les choix controversés du coach
Même ses choix ont été critiqués par les Sanafir qui estiment que certains, qui ont toujours la confiance du coach, ne méritent pas de jouer titulaires. Contrairement à Gomes, le coach du CAB a bien étudié le jeu du CSC, et a apporté sa touche en seconde période avec une légère domination des visiteurs. Gomes n’a fait que sortir et rentrer des joueurs, juste pour le plaisir de le faire et sans plus.

Il faut rectifier le tir avant le match du MOB
Les camarades de Bezzaz sont dos au mur et doivent corriger leurs lacunes avant même le choc face au MO Béjaïa. Durant la semaine qui précède ce match, Didier Gomes devra trouver des solutions, en apportant des correctifs au jeu de l’équipe, tout en sensibilisant ses joueurs de l’importance du prochain rendez-vous. Car un autre revers à domicile, ce week-end, sera fatal pour le club mais aussi pour Gomes qui risque d’être remercié.
 

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