USMH : Benouza maudit à El Harrach

Au lendemain de la rencontre, nombreux étaient les Harrachis qui ont critiqué l'arbitrage de Benouza lors du match ayant opposé leur équipe à celle de la JSS. Que ce soit du côté des supporters ou des responsables, tout le monde grogne. D’ailleurs depuis plusieurs années, les Harrachis ne le portent plus dans leur cœur. Ils lui reprochent très souvent son arbitrage vicieux et sa partialité en faveur de certains clubs, surtout les grosses cylindrées. Certains responsables et supporters que nous avons rencontrés, au lendemain du match, nous ont affirmé que Benouza n'est pas à sa première incartade contre l'USMH. «Ce n'est pas la première fois qu'il nous fait le coup», nous dira ce dirigeant avant d'ajouter : «C'est vrai qu'il est rarement désigné pour officier les matches de l'USMH, mais à chaque qu'il en a l'occasion, il s'illustre par un parti pris flagrant. Depuis notre retour en Ligue 1 mobilis, à plusieurs il a officié en faveur de l’équipe adverse. A deux reprises il nous a privés de la qualification contre la même équipe ESS. En 2008, il nous a privés d'un but valable inscrit par Saïbi contre l'Entente de Sétif à Bouira, en Coupe d'Algérie. Par la suite, il n'a plus dirigé aucun match de l'USMH, et une autrefois contre l'USMA. En 2012, il nous a privés d’une finale contre l’Entente en offrant deux penaltys aux Sétifiens qui sont passés en finale. Contre la JSS, le week-end dernier, je peux vous dire qu'il a, encore une fois, prouvé sa partialité, sinon comment il a siffle un penalty pour une faute pas du tout évidente. » 
Laib : « Décidément, cet arbitre ne changera pas » 
L'on pensait pourtant du côté d’El Harrach que la hache de guerre était définitivement enterrée entre le club et ce referee. Après un contentieux aujourd'hui vieux de quatre ans, plus exactement le 20 avril 2012 où il avait fait l'objet des plus vives contestations de la part de l'USMH et notamment son président Mohamed Laib qui depuis ce jour n’a plus accusé des arbitres. L'on pensait alors que du côté d’El Harrach tout est rentré dans l’ordre. Mais cette fois-ci, le président Mohamed Laib a décidé à ne pas se taire : « Ce qu'on reproche à cet arbitre lors de ce dernier match face à la JSS, c'est sa façon vicieuse d'officier en prenant comme un malin plaisir à siffler un penalty à l’équipe adverse alors qu’il n’y avait pas faute. On venait d’égaliser mais ce but inscrit sur penalty généreusement offert à notre adversaire a mis la JSS dans des circonstances favorables. Il ne restait alors à ces derniers qu'à se résigner à accepter ce sort dès lors qu'ils n'avaient pas jugé utile d'émettre des réserves en temps opportun, c'est-à-dire sitôt après avoir appris que Benouza était désigné pour diriger leur match contre les Harrachis. »
 

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