Auteur :
dimanche 13 mars 2016 10:06
Comme l’entraineur belge l’a confié dans Het Nieuwsblad, il est prêt à faire quelques concessions pour le bien de son groupe. "Il est possible que je laisse venir les compagnes un après-midi à l'hôtel. Après le match contre l'Italie, par exemple", dit le sélectionneur dans le quotidien flamand. "Les joueurs et leurs compagnes seront au courant bien à temps. Comme ça, tout le monde peut prévoir son séjour à l'avance. Les femmes pourront aussi venir voir les matches. J'ai dû me battre pour obtenir 23 places gratuites, mais j'ai réussi."
Pourquoi une telle différence de traitement entre le Brésil en 2014 et la France en 2016? "Au Brésil, c'est l'Union Belge qui devait organiser un tel voyage. J'ai participé à la Coupe du Monde aux Etats-Unis et au Japon. Ce ne sont pas des voyages aussi simples qu'en France. Là-bas, beaucoup se sont plaint de l'organisation. Le Brésil aussi est un voyage difficile. Quand il y a un retard, quand on a des enfants, ... La fédération aurait été accusée de tous les maux alors que ce n'est pas une agence de voyage. En 94, il y a eu des problèmes parce que les femmes n'avaient pas un bel hôtel. Ces plaintes ont toujours un impact sur les joueurs et je voulais absolument l'éviter au Brésil. La France, c'est tout près. Tu peux venir en voiture, en train, ... Il n'y a pas autant de problèmes d'organisation qu'un voyage au Brésil." Des propos relayés par 7sur7.be
Publié dans :
belgique